Cas Cliniques

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Nous vous présentons le cas d’une patiente de 53 ans, demandeuse d’un rajeunissement facial. Cette patiente, qui n’a pas d’antécédent particulier, est fumeuse et n’a jamais eu recours à la médecine ou à la chirurgie esthétique, hormis des injections de toxine botulinique au niveau fronto-orbitaire dont la dernière remonte à 3 mois. Elle se plaint de l’aspect globalement fatigué que reflète son visage, et désigne assez facilement ses sillons nasogéniens et ses plis d’amertumes comme responsables. Elle vient à la consultation avec une photo d’elle, prise à l’âge de 23 ans. Cette photo (fig. 1) est surexposée, effaçant ainsi toute zone d’ombre, et elle arbore un sourire harmonieux sur cette dernière.

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Nous présentons le cas d’un patient de 40 ans, pris en charge initialement à l’étranger pour une plaie abdominale compliquée secondairement d’une fistule digestive et d’une nécrose cutanée médiane périombilicale. L’abdomen est multicicatriciel, avec une cicatrice médiane xyphopubienne et deux incisions latérales de décharge.

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Nous présentons le cas d’une patiente de 55 ans consultant en vue d’une blépharoplastie supérieure. Elle n’a aucun antécédent médico-chirurgical notable, et ne fume pas. Sa demande porte exclusivement sur les paupières supérieures. Elle se plaint de l’excès de peau qui retombe sur les cils, la gêne lors du maquillage et “alourdit” son regard.
Lors de l’examen de la paupière supérieure de la patiente, nous retrouvons :
– un excès de peau en paupière supérieure. Cet aspect est asymétrique, le côté droit étant plus marqué ;
– l’absence de poche graisseuse en interne ;
– un aspect “creux” de la paupière supérieure, particulièrement visible en interne et prédominant sur la paupière gauche. Il est aussi présent en externe, mais partiellement masqué par l’excès de peau.

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Voilà plus de 14 ans que nous prenons en charge Mme C., 51 ans, qui a déjà bénéficié de plusieurs interventions de chirurgie esthétique et entretient très soigneusement un visage parfaitement conservé à raison de deux visites annuelles. Elle est épouse de médecin et gère sans hésiter ses besoins entre injections de soutien, de remplissage ou de détente par la toxine botulique à tous les étages la face. Lorsque nous la voyons en avril dernier, son menu est donc déjà composé : apaisement de la patte d’oie et du menton par toxine botulique et comblement de la partie juxta-narinaire des sillons nasogéniens par acide hyaluronique. Elle reçoit donc 55 U Sp de toxine botulique dans le quart externe de l’orbicularis oculi et le mentalis et 0,35 cc d’un acide hyaluronique adapté que nous utilisons depuis des années.

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Nous vous présentons le cas d’une patiente âgée de 18 ans, sans aucun antécédent, victime d’un accident de la voie publique. Elle présentait lors de son admission aux urgences :
– une fracture de la diaphyse fémorale gauche (traitée en urgence par réduction et enclouage centromédullaire) ;
– une brûlure du 3e degré de la face antérieure du genou droit (par contact prolongé avec le pot d’échappement du véhicule).

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Il s’agit d’une patiente de 28 ans qui a déjà bénéficié d’une rhinoplastie par voie fermée il y a 6 ans, suivie d’une reprise chirurgicale 1 an plus tard. Elle demande une amélioration esthétique et fonctionnelle. Elle présente une racine basse (niveau pupillaire), un V inversé, une asymétrie et une déviation de la pointe, une columelle procidente associée à une rétraction bilatérale des ailes, une saillie cartilagineuse de la columelle et un épatement des ailes narinaires (fig. 1 à 4). Sur le plan fonctionnel, elle se plaint d’une gêne obstructive bilatérale, plus importante à droite qu’à gauche.