L’hyperhidrose, ou quand la chaleur ne fait plus suer
Avec une nette prédominance pour les zones axillaires, la prévalence de l’hyperhidrose est estimée aux États-Unis à moins de 3 %. Il faut, bien sûr, distinguer ce véritable handicap pathologique avec une sécrétion qui ne répond plus au système de thermorégulation neurosudorale d’une sudation invalidante, naturelle mais qui touche bien plus que 3 % des individus. Les causes générales neuroendocrines, cérébrales ou médicamenteuses sortent de notre propos.