paupières

Congrès AIME
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La cantoplastie et la cantopéxie sont des interventions chirurgicales délicates et spécialisées dans le domaine de la chirurgie esthétique et reconstructive des paupières. Cet article, basé sur les présentations faites lors du Congrès AIME 2024 à Paris, explorera les différentes facettes de ces interventions, en commençant par une introduction à la cantoplastie et à la cantopéxie, suivie de la visite préparatoire, des indications chirurgicales, des techniques opératoires et, enfin, des complications possibles et des traitements complémentaires.

Revues générales
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Le regard est l’un des éléments clés de la beauté du visage et influe directement sur son vieillissement, tant sur le plan esthétique que fonctionnel. Plusieurs techniques de blépharoplastie supérieure chirurgicale existent à ce jour. Avec l’augmentation de la demande par les patients, la technique conservatrice par préservation tissulaire, permettant un résultat esthétique avec moins de complications, paraît être le meilleur moyen thérapeutique.

Revues générales
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Lorsque l’on pense au rajeunissement facial, la région malaire est d’une importance capitale et à ne pas sous-estimer. Les méthodes classiques de rajeunissement de cette région font appel au lifting centro-malaire et à la blépharoplastie inférieure avec la nécessité de procéder à une re-répartition des graisses, comme avec la technique de l’arcus marginalis.
De nos jours, les patients préfèrent les techniques peu invasives avec un temps de récupération court. Il est donc préférable de s’en occuper le plus tôt possible afin de proposer des traitements moins invasifs. Cet article est une mise au point de l’arsenal thérapeutique dont nous disposons actuellement. Il reprend les traitements médicaux et chirurgicaux.

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La carboxythérapie est une technique d’injection de CO2 sous-cutanée. Le stress hypercapnique qu’elle induit entraîne paradoxalement une hyperoxygénation et une induction tissulaire. Cette thérapeutique est utilisée dans le rajeunissement facial et dans la lipolyse localisée. Ces mécanismes d’action ont naturellement orienté son utilisation dans le traitement des cernes colorés.
Par rapport aux études préalablement publiées sur le sujet, nous proposons ici un protocole plus court, limité à une séance hebdomadaire pendant trois semaines en doublant le nombre d’injections par séance. Par la simplicité technique, l’excellente tolérance, le très faible risque de complication et la grande satisfaction des patients, ces injections représentent une thérapeutique de choix dans le traitement des cernes colorés en l’absence de dépôt de pigment mélanique.

Revues générales
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Les anomalies les plus fréquentes sont les insuffisances de résection des poches inférieures, les phénomènes rétractiles cicatriciels et/ou les excès de résection cutanée inférieure avec retentissement sur la position de la ligne grise, les anomalies du dessin de l’excision sur la paupière supérieure ou encore les yeux creux, faisant suite à des excisions graisseuses importantes et à l’involution sénile dont la correction est très rarement demandée par des dames très âgées et souvent multi-opérées.
Devant ces anomalies où une décision opératoire est discutée, la consultation à plusieurs lors d’un staff collégial a beaucoup d’intérêt.

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Les blépharoplasties ont représenté 11 % des opérations chirurgicales plastiques en France en 2016. Bien que majoritairement considérées comme des opérations esthétiques, les blépharoplasties supérieures peuvent dans certaines rares conditions être prises en charge par l’Assurance maladie, notamment en cas de dermatochalasis important entraînant une amputation significative du champ visuel supérieur. Un champ visuel automatisé préopératoire est indispensable pour argumenter le caractère réparateur de l’opération en cas de déficit d’au moins 20 %.
Le but de cet article est de rappeler aux plasticiens l’importance de cet examen avant toute blépharoplastie supérieure pour laquelle ils envisagent une prise en charge, examen qui, en cas de contrôle, les mettra à l’abri de toute interprétation douteuse par la Sécurité Sociale de l’état initial du patient. De plus, un nouvel examen postopératoire pourra leur permettre de quantifier l’amélioration fonctionnelle obtenue en cas d’insatisfaction injustifiée du patient.