
Rajeunissement facial et injectables
Nous vous présentons le cas d’une patiente de 53 ans, demandeuse d’un rajeunissement facial. Cette patiente, qui n’a pas d’antécédent particulier, est fumeuse et n’a jamais eu recours à la médecine ou à la chirurgie esthétique, hormis des injections de toxine botulinique au niveau fronto-orbitaire dont la dernière remonte à 3 mois. Elle se plaint de l’aspect globalement fatigué que reflète son visage, et désigne assez facilement ses sillons nasogéniens et ses plis d’amertumes comme responsables. Elle vient à la consultation avec une photo d’elle, prise à l’âge de 23 ans. Cette photo (fig. 1) est surexposée, effaçant ainsi toute zone d’ombre, et elle arbore un sourire harmonieux sur cette dernière.