- Les objectifs de la médecine intime : une spécialité à double aspect
- 1. Aspect esthétique/embellissement
- 2. Aspect fonctionnel
- Quelles patientes concernées par cette activité ?
- Formation, reconnaissance et cadre légal
- 1. Compétences requises
- 2. Cadre légal et médiatisation
- Aspects médico-économiques en médecine intime
- La collaboration multidisciplinaire en médecine intime
- Possibilités de prise en charge
- 1. Prise en charge
- 2. Coûts et financements
Les objectifs de la médecine intime : une spécialité à double aspect
1. Aspect esthétique/embellissement
La gynécologie esthétique vise à restaurer et améliorer l’esthétique de la région génitale féminine. Elle englobe des interventions telles que la dépigmentation, l’épilation, l’augmentation des grandes lèvres ou la nymphoplastie.
2. Aspect fonctionnel
Elle traite de problèmes fonctionnels comme le syndrome génito-urinaire de la ménopause (SGUM), les complications post-accouchement (cicatrices d’épisiotomie, béances vaginales), les désordres pelviens ou urologiques (l’incontinence urinaire d’effort) et les pathologies inflammatoires ou immunologiques (lichen scléreux).
Tout ceci dans le but d’obtenir un bien être intime et sexuel, de reprendre confiance en soi et de “bien vieillir”.
Les techniques utilisées et leurs domaines d’application en médecine intime sont détaillés dans le tableau I.
La médecine intime propose diverses techniques adaptées aux problématiques spécifiques des patientes. On y retrouve des méthodes dites thermiques avec les lasers, la LED et la radiofréquence ; des techniques dites régénératives comme le plasma riche en plaquettes (PRP) ou encore des techniques utilisant des injectables comme[...]
Connectez-vous pour consulter l'article dans son intégralité.
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire