Intérêt de la photobiomodulation sur la cicatrisation en chirurgie plastique esthétique

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La lumière au cœur des agents physiques proposés en esthétique

L’acte chirurgical occupe à lui seul l’excellence des gestes thérapeutiques de l’esthétique. Il occupe néanmoins une place de plus en plus considérée comme le recours ultime par un patient – pour ne pas dire une patiente –, craintif devant l’hospitalisation même si elle est courte, l’anesthésie, les pansements, éventuellement la douleur et, cachée dans l’ombre, la peur du ratage… Cela a progressivement puis rapidement inspiré le développement de solutions alternatives médico-chirurgicales (comblement artificiel ou naturel, plasma riche en plaquettes [PRP], graisse, fils, etc.) et pharmacologiques (toxine botulique, facteurs de croissance, etc.). On aura également assisté à l’entrée en scène d’agents physiques, de plus en plus nombreux, très basiques avec le froid ou la pression ou de plus en plus avant-
gardistes, en convoquant les principes de la physique newtonienne puis ceux de la quantique : courants électriques, ultrasons, radiofréquences, champs électromagnétiques et enfin rayonnement électromagnétique dans les domaines du visible et de l’infrarouge, que l’on appelle communément “lumière”.

Et tout cela dans l’idée de différer, contourner en l’évitant l’acte chirurgical. Ce dernier, pour autant, n’a cessé de progresser dans[...]

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À propos de l’auteur

Université Paris-Est CRÉTEIL.