- Disposons-nous d’études permettant de répondre à cette problématique ? Et si non, pourquoi ?
- À quel cahier des charges devrait répondre une telle technique ?
- Au final, que proposer raisonnablement ?
- 1. Les lasers ablatifs hyperpulsés non fractionnés
- 2. Les lasers fractionnés CO2 et Erbium
- 3. Les lasers fractionnés non ablatifs
- 4. Les lasers Q-Switched, nano et picosecondes
- 5. Les techniques de radiofréquence
- 6. Les ultrasons microfocalisés
- 7. Les LED
- Conclusion
Un constat pour commencer : si les discussions visant à déterminer quels sont les soins les plus efficaces pour ralentir le vieillissement cutané sont nombreuses, elles concernent surtout les cosmétiques, plus ou moins les peelings, éventuellement la toxine botulinique. À titre personnel, il me semble que les fillers sont davantage discutés comme des traitements correctifs que préventifs. Quant aux lasers et autres techniques basées sur les dispositifs énergétiques (radiofréquences, ultrasons…), leur place dans ces discussions semble jusqu’à présent quasi nulle. Par exemple, une revue de la bibliographie consacrée à ce sujet se révèle tout simplement vide de toute publication, même dans les revues générales de type “indications des lasers en dermatologie”.
Est-ce à dire que ces techniques n’ont aucune place ? Si oui, cet article sera court ! Mais on peut aussi essayer de se poser la question d’une place possible, peut-être négligée. On tentera donc de répondre aux questions suivantes :
- disposons-nous d’études permettant de répondre à cette problématique ? Et si non, pourquoi ?
- à quel “cahier des charges” devrait répondre une telle technique ? Quels seraient les points négatifs limitant l’usage de cette technique comparée à d’autres ? Quels seraient les points positifs qui inciteraient à opter[...]
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