- Modèle d’installation
- 1. L’unité de lieu
- 2. En cabinet de ville ou en clinique : (consultation) Hors IACE
- 3. En clinique privée ou en structure mutualiste
- 4. Seul, en association et/ou succession : une aventure humaine
- Choix du personnel
- Les “pièges” du jeune chirurgien esthétique
- Choisir la structure la plus adaptée à l’exercice de votre activité : gestion d’une micro-entreprise
- Jeune chirurgien = Génération média (Facebook, Internet, Google, site web professionnel)
- La consultation
- Conclusion
Chaque installation possède sa particularité qu’elle soit :
- en cabinet de ville ou en clinique ;
- en clinique privée/mutualiste ;
- dans une zone de forte ou de faible densité médicale (nombre de chirurgien plasticien) : unité de lieu ;
- en création, association ou succession.
Une installation, c’est aussi envisager d’avoir du personnel (assistantes, aide-opératoires etc.), c’est réfléchir à un montage juridique, c’est envisager un site web et c’est aussi avoir une nouvelle approche en consultation. Tous ces points sont particulièrement importants puisqu’ils détermineront le curseur de la prise de risque et ainsi les pièges à éviter.
Modèle d’installation
1. L’unité de lieu
Très fréquemment, son lieu d’installation correspond à sa ville d’internat ou de clinicat. Sa vie personnelle, son tissu social et professionnel s’étant établis, il apparaît souvent plus aisé d’y réaliser son installation. Selon la taille de la ville, sa démographie de chirurgiens plasticiens, les enjeux pour un jeune chirurgien seront différents. Le raccourci serait d’associer grande ville avec grande activité ! Beaucoup de praticiens exercent déjà et ont une notoriété certaine.[...]
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