Améliorer l’esthétique des patients en ne traitant qu’une zone. À propos de 3 cas cliniques

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Peut-on définir la beauté ?

La beauté peut être définie comme la nécessité qu’ont les hommes de transformer leur visage ou leur corps de façon à ne jamais le présenter tel que la nature l’a fait. Améliorer son esthétique dans l’avenir, c’est lui donner une présentation adaptée à chaque étape de sa vie. C’est aussi vouloir conserver son pouvoir de séduction.

Les critères de beauté ont évolué au cours du temps. La beauté en Europe médiévale a d’abord été magnifiée avant d’être condamnée, elle devenait synonyme des dérives du mal. À la Renaissance, les canons de beauté témoignent du plaisir. Dans la France du XVIIe et XVIIIe siècles, la beauté est une construction artificielle qui reflète la hiérarchie sociale. Depuis la moitié du XXe siècle, la beauté profite des progrès de la science et de -l’industrie. L’accession à l’esthétisme se démocratise, et permet de se construire socialement.

Peut-on tenter le jackpot ?

Nous vous proposons de développer à partir de cas cliniques, le concept suivant : améliorer l’esthétique d’un visage en ne traitant qu’une seule zone alors que les besoins seraient multiples. Peut-on être “percutant” en choisissant de traiter une zone définie comme prioritaire ?

Ce concept peut être dicté par le besoin actuel de naturel et de n’utiliser que des quantités “raisonnables” de produits de comblement, et par des impératifs économiques pour nos patients. Commencer par corriger une zone d’un visage avec succès, c’est convaincre nos patients de pratiquer d’autres actes esthétiques en toute confiance ; c’est un moyen de fidéliser nos patients tout en douceur.

Nous devons définir une zone prioritaire, en analysant le vieillissement du patient, mais il est aussi nécessaire d’écouter notre patient. Notre analyse peut être différente de la sienne, et ne pas traiter la petite ridule qui le gêne peut entraîner une insatisfaction, même si tout le reste a été corrigé.

La volumétrie : ça “booste”

Cas clinique n° 1

Patiente âgée de 45 ans, avec une inversion du V, un visage qui s’alourdit dans son tiers[...]

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